1987: JJ Goldman, voyant extra-lucide...
Puisque l'ombre gagne, Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-delà des vents plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre, A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des "ainsi-soit-il"
Et puisque tu penses, Comme une intime évidence
Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire
Puisque c'est ailleurs, Qu'ira mieux battre ton cœur
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir
Puisque tu pars
Au-delà des vents plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre, A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des "ainsi-soit-il"
Et puisque tu penses, Comme une intime évidence
Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire
Puisque c'est ailleurs, Qu'ira mieux battre ton cœur
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir
Puisque tu pars
Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles
Sauront t'aimer mieux que nous puisque l'on ne peut t'aimer plus
Que la vie t'apprenne, Mais que tu restes le même
Si tu te trahissais nous t'aurions tout à fait perdu
Garde cette chance, Que nous t'envions en silence
Cette force de penser que le plus beau reste à venir
Et loin de nos villes, Comme octobre l'est d'avril
Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte indélébile
Sans drame, sans larme
Pauvres et dérisoires armes
Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur
Puisque ta maison, Aujourd'hui c'est l'horizon
Dans ton exil essaie d'apprendre à revenir
Mais pas trop tard
Dans ton histoire
Garde en mémoire
Notre au revoir
Sauront t'aimer mieux que nous puisque l'on ne peut t'aimer plus
Que la vie t'apprenne, Mais que tu restes le même
Si tu te trahissais nous t'aurions tout à fait perdu
Garde cette chance, Que nous t'envions en silence
Cette force de penser que le plus beau reste à venir
Et loin de nos villes, Comme octobre l'est d'avril
Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte indélébile
Sans drame, sans larme
Pauvres et dérisoires armes
Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur
Puisque ta maison, Aujourd'hui c'est l'horizon
Dans ton exil essaie d'apprendre à revenir
Mais pas trop tard
Dans ton histoire
Garde en mémoire
Notre au revoir
Puisque tu pars
Dans ton histoire
Garde en mémoire
Notre au revoir
Puisque tu pars
J'aurai pu fermer, oublier toutes ces portes
Tout quitter sur un simple geste mais tu ne l'as pas fait
J'aurai pu donner tant d'amour et tant de force
Mais tout ce que je pouvais ça n'était pas encore assez
Pas assez, pas assez, pas assez
Dans ton histoire
Garde en mémoire
Notre au revoir
Puisque tu pars...
2 Comments:
Cette chanson m'a souvent fait pleurer, entre le départ de Paris, le départ de Lille, de Lun, les départs d'Allemagne, j'ai souvent l'impression (l'envie?) d'entendre mes amis murmurer ces paroles...je la trouve aussi très douloureuse, je ressens à chaque fois un profond sentiment de solitude et de culpabilité...
mouais, tetre l'heure d'aller se coucher et cuver sagement au chaud...bonne nuit!
"Dans ton exil essaie d'apprendre à revenir, Mais pas trop tard" LoL, (pas lol), ce fut mon pseudo MSN ça!! On s'en fout, oui..
Mais joli, Jean-Jacques!
Enregistrer un commentaire
<< Home